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AVIS AUX MÉDIAS : Des dirigeantes et dirigeants élus discuteront de la crise du recrutement et de la rétention du personnel enseignant à l’occasion de la Journée mondiale des enseignantes et des enseignants

OTTAWA, le 3 octobre 2023 — La Fédération canadienne des enseignantes et des enseignants (CTF/FCE) accueillera des députées et députés et des intervenantes et intervenants du milieu de l’éducation à son assemblée publique organisée à l’occasion de la Journée mondiale des enseignantes et des enseignants, à Ottawa, sur le thème « La classe vide : Défis et solutions face à la crise du recrutement et de la rétention du personnel enseignant ».

Cette célébration de la profession enseignante comprendra un panel animé par la présidente de la CTF/FCE Heidi Yetman. Ce panel offrira aux députées et députés et aux intervenantes et intervenants du milieu de l’éducation une occasion unique d’écouter les membres du corps enseignant, de répondre à leurs questions et d’échanger sur d’éventuelles mesures et stratégies pour améliorer les conditions de travail et résoudre ce faisant les problèmes de recrutement et de rétention auxquels se heurte le milieu de l’éducation du Canada.

Le panel sera suivi d’une période de questions.

Les panélistes seront :

  • Martin Shields, député de la circonscription de Bow River;
  • Jenica Atwin, députée de la circonscription de Fredericton;
  • Niki Ashton, députée de la circonscription de Churchill–Keewatinook Aski;
  • Carol Sarich, présidente, Association canadienne des directeurs d’école;
  • Kristina Salciccioli, chef de section à l’école secondaire Cathedral, à Hamilton (Ontario), et chargée de cours et doctorante à la Faculté d’éducation de l’Université Brock.

Date

Le 5 octobre 2023

Heure

17 h 30 HE

Lieu

L’évènement aura lieu en présentiel à La Nouvelle Scène Gilles Desjardins, au 333, avenue King Edward, à Ottawa (Ontario), Canada.

L’assemblée publique sera aussi diffusée en direct sur Zoom (le lien pour se connecter sera envoyé aux personnes participantes deux jours avant l’évènement). Il sera possible d’accéder à un enregistrement de l’évènement par la suite.

Bilinguisme : Cet évènement se déroulera dans les deux langues officielles et des services d’interprétation simultanée seront offerts.

Inscription : Les représentantes et représentants des médias doivent s’inscrire à l’avance à partir de la page Web de l’évènement.

À propos de la CTF/FCE

Fondée en 1920, la CTF/FCE est une alliance nationale d’organisations provinciales et territoriales de l’enseignement qui représentent plus de 365 000 membres du corps enseignant et autres travailleurs et travailleuses du secteur de l’éducation au Canada. Elle est également affiliée à l’Internationale de l’Éducation, qui représente plus de 32 millions d’éducateurs et éducatrices.

Contact avec les médias

Nika Quintao, directrice des Affaires publiques
Fédération canadienne des enseignantes et des enseignants (CTF/FCE)
Contact
Cellulaire : 613-606-7809

La Fédération canadienne des enseignantes et des enseignants (CTF/FCE) s’inquiète de voir la haine organisée gagner du terrain dans l’ensemble du pays. Avec les organisations de l’enseignement qu’elle représente dans chacune des provinces et chacun des territoires, la CTF/FCE dénonce les actions menées dans le but d’intimider les gens vulnérables, de propager la mésinformation et de semer la haine. Nous nous déclarons solidaires des élèves, des familles, des membres du milieu de l’éducation et de la vaste majorité des Canadiennes et des Canadiens qui veulent protéger les droits des personnes LGBTQQIA2+.

Plus d’un million de Canadiennes et de Canadiens s’identifient comme faisant partie de la communauté LGBTQQIA2+. Les attaques qui les ciblent sont des attaques contre notre liberté et notre paix collectives. Nous exhortons nos concitoyennes et concitoyens, indépendamment de leurs convictions politiques ou religieuses, à réfléchir aux effets terriblement toxiques de l’intimidation sur notre identité nationale. Notre prospérité en tant que nation, nous la devons à notre capacité d’inclusion et à notre volonté d’épouser le changement. Les agriculteurs et agricultrices du Canada comprennent cette logique mieux que quiconque : la diversification des cultures donne une terre beaucoup plus riche. Il en va de même pour les pays. 

La CTF/FCE s’inquiète des actions de certains gouvernements provinciaux du pays qui apportent aux politiques de l’éducation des changements préjudiciables aux populations déjà vulnérables, comme les élèves et les membres du personnel scolaire aux genres divers. Nous sommes aussi inquiets de voir des groupes mal informés et malveillants organiser des évènements propagateurs de haine et d’agressivité.

La CTF/FCE représente plus de 365 000 enseignantes et enseignants au Canada et ses principes sont clairs : elle est partisane de systèmes d’éducation sûrs, accueillants et inclusifs, qui sont valorisants pour toutes les personnes de toutes identités de genre.

Une tendance inquiétante qui va à l’encontre du bon sens se manifeste :

Le 8 juin, le gouvernement du Nouveau-Brunswick a révisé une politique en matière d’éducation selon laquelle il serait dorénavant interdit aux enseignantes et enseignants de la province d’utiliser les pronoms de prédilection des élèves âgés de moins de 16 ans sans le consentement des parents.

Cet été, pendant sa campagne électorale au Manitoba, le Parti conservateur a promis d’élargir les droits parentaux en changeant la Loi sur les écoles publiques de la province.

Le 22 août, le ministre de l’Éducation du Parti de la Saskatchewan a annoncé une politique presque identique à celle du Nouveau-Brunswick.

Le 28 août, le ministre de l’Éducation de l’Ontario a affirmé à des journalistes qu’il faut informer les parents si leur enfant choisit d’utiliser un autre pronom à l’école.

Et maintenant, en Alberta, un groupe haineux organise un convoi contre l’« éducation sexuelle » qui cible les membres du corps enseignant et leur association provinciale.

Toutes ces actions ne sont pas des coïncidences et leurs auteurs et autrices semblent oublier le fait que bien des enseignantes et enseignants sont aussi des parents.

La CTF/FCE reconnaît le rôle fondamental que la plupart des parents jouent dans l’éducation de leurs enfants et pour assurer leur sécurité; elle reconnaît aussi le fait que des écoles sûres sont le fondement d’un pays paisible. C’est pour en arriver là que nous devons faire confiance au professionnalisme des membres du corps enseignant et à leur capacité de faire ce qu’il y a de mieux pour les élèves pendant qu’ils sont sous leur garde.

Le 5 octobre, nous célébrerons la Journée mondiale des enseignantes et enseignants et saluerons le travail monumental et noble des professionnelles et professionnels de l’éducation du monde entier.

Inscrivez-vous ICI pour vous joindre aux célébrations.

À propos de la CTF/FCE

Fondée en 1920, la CTF/FCE est une alliance nationale d’organisations provinciales et territoriales de l’enseignement qui représentent plus de 365 000 membres du corps enseignant et autres travailleurs et travailleuses du secteur de l’éducation au Canada. Elle est également affiliée à l’Internationale de l’Éducation, qui représente plus de 32 millions d’éducateurs et éducatrices.

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La Québécoise Heidi Yetman amorce son mandat à la présidence de la Fédération canadienne des enseignantes et des enseignants

Ottawa, le 14 juillet 2023 — L’ancienne présidente de l’Association provinciale des enseignantes et enseignants du Québec (APEQ), Heidi Yetman, vient d’amorcer son mandat de deux ans à la présidence de la Fédération canadienne des enseignantes et des enseignants (CTF/FCE), dans la foulée de l’Assemblée générale annuelle qui s’est tenue à Ottawa.

Elle remplace le président sortant Sam Hammond.

« Je suis très honorée de succéder à Sam Hammond à la présidence de la CTF/FCE, déclare Heidi Yetman. Sam Hammond a été un président formidable qui a su faire résonner avec beaucoup de force la voix de la Fédération. Et oui, je suis honorée, mais je suis aussi enchantée de la chance qui m’est donnée de poursuivre son incroyable travail. Il faut dire que, dans toutes les régions du pays, l’éducation est en proie à des difficultés de taille. La CTF/FCE aura donc un important rôle à jouer pour faire que l’éducation publique financée par l’État devienne une vraie priorité. Je suis impatiente de travailler avec la talentueuse équipe du Bureau de direction et celle tout aussi remarquable du personnel de la CTF/FCE afin d’assurer aux enseignantes et enseignants de toutes les provinces et de tous les territoires la meilleure des représentations. »

Avant de devenir présidente de l’APEQ, Heidi Yetman était présidente du Syndicat des enseignant(e)s de Pearson, à Montréal. Auparavant, elle avait enseigné les sciences et les arts pendant 23 ans au secondaire. Élue au poste de vice-présidente de la CTF/FCE en 2018 et 2019, elle l’a été de nouveau en 2021 avant d’être élue présidente désignée en juillet 2022. De 2021 à 2023, elle travaille avec le Comité consultatif de la condition féminine et le Comité consultatif du français langue première de la CTF/FCE auprès desquels elle assure la liaison avec le Bureau de direction.

En plus de son travail avec les comités, Heidi Yetman a assisté au 8e Congrès mondial de l’Internationale de l’Éducation (IE) de 2019, où elle a animé un caucus pour les femmes. Pour la CTF/FCE, non seulement a-t-elle animé le Caucus des femmes à l’AGA de 2019, mais elle a également joué le rôle de modératrice d’un panel lors du Symposium des femmes, en 2019 aussi. En 2020, elle a été invitée à prendre la parole au Symposium des femmes de la Manitoba Teachers’ Society à titre de conférencière principale.

Les vice-présidentes et vice-président nouvellement élus ci-dessous formeront, aux côtés de la présidente Heidi Yetman et de la directrice générale Cassandra Hallett, le nouveau Bureau de direction :

  • Anne Vinet-Roy, vice-présidente (Association des enseignantes et des enseignants franco-ontariens)
  • Connie Keating, vice-présidente (New Brunswick Teachers’ Association)
  • Jenny Regal, vice-présidente (The Alberta Teachers’ Association)
  • Justin Matchett, vice-président (Nunavut Teachers’ Association)
  • Karen Littlewood, vice-présidente (Fédération des enseignantes-enseignants des écoles secondaires de l’Ontario)

En plus des vice-présidentes et vice-président nouvellement élus, Shelley L. Morse, membre de la Nova Scotia Teachers Union et ancienne présidente de la CTF/FCE, a été élue candidate de la CTF/FCE en vue des élections du Bureau exécutif de l’IE qui auront lieu l’an prochain au 10e Congrès mondial, à Buenos Aires, en Argentine.

À propos de la CTF/FCE

Fondée en 1920, la CTF/FCE est une alliance nationale d’organisations provinciales et territoriales de l’enseignement qui représentent plus de 365 000 membres du corps enseignant et autres travailleurs et travailleuses du secteur de l’éducation au Canada. Elle est également affiliée à l’Internationale de l’Éducation, qui représente plus de 32 millions d’éducateurs et éducatrices.

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Déclaration de la Fédération canadienne des enseignantes et des enseignants sur la protection des données des élèves

Ottawa, le 10 juillet 2023 – La pandémie de COVID-19 a perturbé l’éducation en présentiel dans tous les pays du monde comme jamais auparavant et le Canada n’a pas fait exception. Du jour au lendemain, les enseignantes et enseignants du pays se sont retrouvés à donner leurs cours par l’entremise d’écrans et d’applications plutôt qu’en salle de classe. Si le passage à l’apprentissage en ligne a donné lieu à toutes sortes de problèmes auxquels il a fallu répondre rapidement — par exemple s’assurer que le personnel enseignant et les élèves disposaient des appareils nécessaires et avaient accès à un service Internet haute vitesse — le tort que ce changement soudain a causé persiste.

Pour les élèves du secondaire, de l’élémentaire et même de la maternelle, l’apprentissage à distance en mode urgence a fini par s’installer dans la routine quotidienne. Cela dit, la pandémie a peu à peu perdu en intensité et les élèves ont repris le chemin de l’école, mais les répercussions des solutions irréfléchies mises en place en 2020, elles, n’ont pas encore fini de se faire sentir. Ces solutions numériques, qui ont rendu l’enseignement et l’apprentissage en ligne possibles au moment où les écoles étaient inaccessibles, ont donné lieu à d’abondantes traces numériques laissées par les élèves. Aussi faciles à trouver que les miettes de pain semées par le Petit Poucet, ces traces ont été englouties par des entreprises de services éducatifs déterminées à faire du profit sur le dos des élèves. Ces entreprises privées ont ainsi mis la main sur une mine de renseignements, allant des données d’évaluation des élèves aux données personnelles, qui leur ont permis de s’enrichir aux dépens des enfants et de l’éducation publique financée par l’État.

C’est bien connu, l’ingérence des entreprises technologiques dans les salles de classe ne date pas d’hier, mais la pandémie a accéléré la collecte des données des élèves. Il faut aussi dire que les gouvernements n’ont pas hésité à inviter les géants du numérique dans les salles de classe et que les avancées technologiques qui ont permis aux élèves et au personnel enseignant de garder plus ou moins contact pendant que les écoles étaient fermées sont apparues au détriment de la vie privée et des principes mêmes de l’éducation publique financée par l’État.

Lorsque les écoles sont passées à l’apprentissage à distance en mode urgence, les entreprises technologiques ont profité de l’occasion pour analyser les flux de données produites par les élèves, comme elles le faisaient déjà avec le reste de l’Internet, c’est-à-dire à des fins commerciales. Les élèves sont soudainement devenus vulnérables comme jamais elles et ils ne l’avaient été auparavant.

Si la simple existence des données n’est pas en soi préoccupante, la façon dont elles sont traitées et vendues l’est. Les données d’évaluation des élèves ne doivent se retrouver qu’entre les mains d’enseignantes et enseignants qualifiés et de responsables d’établissements publics qui s’en servent pour évaluer les besoins d’apprentissage des élèves et attribuer les ressources en conséquence. Quand les données des élèves servent à mettre sur le marché des services de tutorat privés, à vendre des applications d’apprentissage ou à mesurer la rentabilité d’un quartier pour les besoins du secteur de l’immobilier, c’est que la privatisation et la monétisation font leur travail, menaçant du coup l’équité et le fondement même d’une éducation publique de qualité.

Face à la monétisation croissante et incontrôlée des données des élèves, la Fédération canadienne des enseignantes et des enseignants (CTF/FCE) condamne fermement toute forme d’utilisation des données d’évaluation des élèves à des fins commerciales. Elle presse les gouvernements provinciaux et territoriaux de prendre des mesures pour protéger la vie privée et prévenir cette utilisation à mauvais escient des données des élèves. Elle demande aussi au gouvernement fédéral d’adopter le projet de loi C-27, qui vise à protéger la vie privée des consommateurs et les données de l’ensemble des Canadiennes et Canadiens. Autant la CTF/FCE appuie pleinement le fait que des enseignantes et enseignants qualifiés se servent d’une technologie appropriée pour favoriser l’apprentissage des élèves du Canada, autant elle désapprouve que la technologie devienne une passerelle pour profiter des élèves et de nos systèmes d’éducation publique financés par l’État. Il nous faut agir dès maintenant pour expulser les entreprises de services éducatifs de nos écoles et permettre aux salles de classe de redevenir des lieux sûrs où il fait bon enseigner et apprendre. Bref, il faut faire passer les élèves et l’éducation publique avant les profits.

À propos de la CTF/FCE

Fondée en 1920, la CTF/FCE est une alliance nationale d’organisations provinciales et territoriales de l’enseignement qui représentent plus de 365 000 membres du corps enseignant et autres travailleurs et travailleuses du secteur de l’éducation au Canada. Elle est également affiliée à l’Internationale de l’Éducation, qui représente plus de 32 millions d’éducateurs et éducatrices.

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Sam Hammond, président de la CTF/FCE

La COVID-19, les confinements ainsi que l’enseignement et l’apprentissage à distance en mode urgence ont bouleversé le milieu de l’éducation publique. La pandémie a laissé dans son sillage une crise de la santé mentale qui fragilise non seulement la vie et la carrière du personnel enseignant et des autres travailleurs et travailleuses de l’éducation, mais également les systèmes mêmes d’éducation publique financés par l’État au Canada.

Une étude que nous avons réalisée vers la fin de 2020 nous a permis de constater que les deux tiers des enseignantes et enseignants étaient préoccupés par leur santé mentale et leur bien‑être. Quelques mois plus tard, une enquête de suivi a révélé que le corps enseignant et les autres travailleurs et travailleuses de l’éducation éprouvaient des problèmes d’anxiété, de stress et de dépression à long terme en raison d’attentes accrues au travail et de la difficulté à séparer la vie personnelle et la vie professionnelle. La pandémie n’a pas créé cette crise, mais il n’y a pas de doute qu’elle l’a empirée. Et surtout, elle l’a exposée au grand jour. Il faut maintenant s’y attaquer.

Grâce au soutien financier du gouvernement fédéral, et plus précisément l’Agence de la santé publique du Canada, la Fédération canadienne des enseignantes et des enseignants (CTF/FCE) a lancé un projet pilote qui vise à améliorer la santé mentale du personnel enseignant et des autres travailleurs et travailleuses de l’éducation.

Avec le soutien de spécialistes de la santé mentale, dont nos partenaires du Centre de toxicomanie et de santé mentale et de la Faculté de médecine de l’Université d’Ottawa, nous espérons, dans le cadre de ce projet, nous concentrer sur un éventail de sujets comme les traumatismes, la résilience, l’usure de compassion, la sécurité psychologique, le bien-être et j’en passe. Une fois que le projet se mettra en branle, ces spécialistes de la santé mentale dirigeront des séances mensuelles en ligne à l’intention d’enseignantes et enseignants et d’autres travailleurs et travailleuses de l’éducation dans le but d’aider ces personnes à explorer en profondeur les sujets en question.  

Ce projet pilote est unique en son genre parce qu’il est adapté aux besoins et à la réalité quotidienne du personnel enseignant. Et pour qu’il ne vienne pas ajouter à la déjà longue liste de « choses à faire » des enseignantes et enseignants, il s’intégrera à leur journée de travail. De plus, il propose un modèle fondé sur la collégialité, un modèle qui a fait ses preuves et que les enseignantes et enseignants connaissent bien.

Nous espérons que ce projet pilote nous permettra de mieux comprendre comment soutenir le personnel enseignant en période postpandémique et au-delà au moyen d’un programme de promotion de la santé mentale et de prévention des maladies mentales en milieu scolaire.

Pour le mener à bien, nous avons, en collaboration avec les organisations membres de la CTF/FCE, sélectionné trois écoles de la maternelle à la 12e année, situées dans trois régions différentes et représentatives de la grande diversité des écoles et des communautés du Canada. Ces écoles représentent des populations anglophones et francophones, des zones urbaines et rurales, des écoles élémentaires et secondaires, grandes et petites.

Ce projet, qui se déroulera de septembre 2023 à février 2024, est un pas dans la bonne direction pour que le personnel enseignant et les autres travailleurs et travailleuses de l’éducation disposent des outils dont elles et ils ont besoin pour faire face à la maladie mentale et aux traumatismes au cours des prochaines phases de la reprise postpandémique.

La Fédération canadienne des enseignantes et des enseignants

Fondée en 1920, la CTF/FCE est une alliance nationale d’organisations provinciales et territoriales de l’enseignement qui représentent plus de 365 000 membres du corps enseignant et autres travailleurs et travailleuses du secteur de l’éducation au Canada. Elle est également affiliée à l’Internationale de l’Éducation, qui représente plus de 32 millions d’éducateurs et éducatrices.

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Andrew King
Fédération canadienne des enseignantes et des enseignants (CTF/FCE)
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