La secrétaire générale Cassandra Hallett explique à quel point l’espace professionnel des enseignantes et enseignants du Canada est comprimé notamment par l’arrivée incessante de courriels, les réunions du personnel, les incidents qui se produisent à l’école, les tâches parascolaires et les questions des parents, qui s’ajoutent au travail d’enseignement en classe, de planification et de correction.
Joni Turville compare les courriels aux zombies. Les courriels ne cessent jamais d’arriver, peu importe ce qu’on fait. Plus on en lit, plus on y répond et plus on en produit. Et ce phénomène a des répercussions profondes sur l’espace professionnel des enseignantes et enseignants, eux qui ne passent pas la journée assis devant un écran d’ordinateur.
Dans son survol de l’espace propre à l’apprentissage professionnel des enseignantes et enseignants, Pamela Osmond-Johnson décrit la tension entourant la question de savoir qui devrait contrôler cet espace.
Le double mandat du personnel enseignant en contexte francophone minoritaire pose des défis particuliers. Les enseignantes et enseignants doivent en effet transmettre efficacement leurs connaissances tout en éveillant chez leurs élèves une passion pour la culture franco-canadienne. La FCE offre des idées et des ressources.
Après le Réseau national de recherche du personnel enseignant de la FCE, voici le nouveau Réseau de l’apprentissage et du perfectionnement professionnels de la FCE, qui regroupe des membres du personnel des organisations Membres qui travaillent dans le domaine de l’apprentissage professionnel.
Plus de 300 personnes, y compris une petite délégation de porte-paroles de la profession enseignante membres de la FCE, se sont rassemblées à la Conférence pour discuter et tenter de répondre à l’épineuse question : Pourquoi, en 2018, y a-t-il encore si peu de femmes dans les plus hauts postes de direction, et ce quel que soit le secteur?
